collage1 Depuis l’enfance, mon rêve fut qu’un jour je jouerai le piano. Ni mes parents, ni mon ex-mari, le peintre-sculpteur Frits Vogel, n’ont pu réaliser ce rêve. C’est après mon divorce, à l’âge de 44 ans, que j’ai commencé à épargner de l’argent pour me procurer de ce rêve d’enfant. Deux ans plus tard, en 1999, le premier piano, chiné à un brocante,  entre dans notre maison à Vollore-Ville, mais il était tellement faux que la même année, je fus contrainte de m’acheter un piano neuf, un Blondel, qui était accordable. Toutes heureuses, ma fille Myriam et moi commençâmes des leçons de piano chez Mme Dupic, à Celles sur Durolle. Quelques  mois plus tard nous déménageons à Trézioux et continuons à jouer le piano sans aide d’un professeur.